Antarcia
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AuteurMessage
Leeca Zerastralis

Lindwörm
~Persécuteur à cornes~

Leeca Zerastralis

Messages : 173
Origine : Finlandaise
Statut : Pas de doute à avoir, prédateur.

Carte de Séjour
Genre: Dominant
Relations:

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MessageSujet: Kesyttäjä höperö    Kesyttäjä höperö  EmptyDim 6 Mar - 22:46

Kesyttäjä höperö  Pix_le10
    [x] Identité : Leeca Zerastralis
    [x] Age : Euh … quelques 400 toutes petites années
    [x] Race : Lindworm. Dragon d’Europe du Nord dépourvus d’ailes, possédant un corps de serpent et seulement deux membres antérieurs. Chacun d’eux manie un seul élément, et dispose d’une enveloppe humaine imparfaite. Ici Leeca conserve ses cornes, une langue fendue en deux telle celle des serpents, des oreilles aux cartilages effilés garnies de piercings et les prunelles carmines.
    [x] Pouvoirs :Offensif & défensif Il s’agit d’un åskstrålen lindworm, soit un manieur de foudre.
    Sous forme animale il est capable de bailler des éclairs mais l’énergie que lui coute sa transformation ainsi que l’utilisation de son pouvoir ne lui permettent pas de souvent s’en servir. Il n’a que très peu d’expérience, son âge reste très jeune pour cette race. En revanche sous forme humaine, il peut matérialiser la foudre sous forme d’armes diverses et de son choix (fouet, lance, aiguilles, shuriken…) ce qui, en fait, lui suffit amplement pour ce qu’il aime faire.


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.:: Caractère ::.
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Mysterium

Un cri de douleur. Je frissonne tandis que sous ma main, se cambre le corps sanglant d'un humain en pleurs. Ses suppliques, ses sanglots, tout cela me force à continuer. Frénésie, l'odeur du fluide carmin s'échappant lentement, synonyme de l'écoulement de sa vie, le fragrance de sa chair brulée emplissant l'air saturé de violence, je ris. Mes doigts, bardés d'aiguilles, courent sur sa peau nue comme des canines sur un morceau de viande, laissant sur leur passage les sillons calcinés de leurs pointes. Il se tord dans tous les sens comme un misérable vermisseau. Un claquement sonore retentit, accompagné d'un joli chapelet de hurlements étouffés. Voyons voyons, il faut mater l'impudent insecte qui tente de me glisser entre les doigts, quoi de meilleur que l'électrisante morsure d'un fouet pour le rappeler à l'ordre. Je déteste que l'on s'oppose à moi. La plaie s'étend, le sang s'écoule, je passe doucement ma langue sur mes lèvres en l'observant tenter de se taire. Ses yeux humides posent sur moi deux prunelles implorantes, mais je n'en ferai rien, tout cela ruisselle sur mon âme comme de l'huile sur de l'eau. Je sais dès lors que j'ai posé les yeux sur une victime qu'elle n'en ressortira pas indemne. Ce n'est pas la mort qui compte, c'est comment on l'y amène. On la déboussole, la baladant sur les rives du Styx, lui montrant le cour sinistre que son corps rejoindra bientôt, ou du moins celui qu'elle sera persuadée de rejoindre. Car oui la mort n'est pas une finalité ... du moins pas la mort physique. Non je n'aime pas tuer, tout ce que j'affectionne c'est la souffrance. Celle des autres, ces hurlements qui prennent aux tripes, que leurs esprits se brisent sous la douleur corporelle, ne laisser d'eux qu'une coquille vide, incapables de ressentir à nouveau la moindre des émotions. Qu'un gouffre, que le tout ne devienne plus que vacuité. Le voilà qui gueule désespérément, encore. Loin de me vriller les oreilles, je me délecte de ces plaintes déchirantes. Je troc mes aiguilles contre une lame de scalpel étincelante et fais glisser avec une délicatesse extrême la pointe sous sa peau. Je le pèle à vif, telle une mandarine, retirant les chairs avec soin, ne pouvant m'empêcher de les dévorer. Je ne peux plus m'arrêter, je continue jusqu'à ce que son corps entier ne soit plus fait de tissus ensanglantés. Je ris à nouveau, puis mon oeuvre achevée, je lui sectionne les cordes vocales et tous les doigts. Ses yeux révulsés et son esprit inconscient me font l'effet d'un baume sur le coeur. Je m'en vais, laissant cette boule de chair attachée à son propre lit, je me suis bien amusé.


--------------------------------------------------
.:: Mémoire ::.
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{ Before … Say freedom }

« Leeca … Leeca … Hey ! Oh Ducon tu te réveilles oui ?! »

Hm je cours après un gros lapi… Et … merde ! Pourquoi on me secoue comme ça… Aie et pourquoi y’a tant de lumière d’un coup ?

« Ah Raya arreeeeete ! C’bon ! C’est bon je suis reveillé ! »
« Sombre idiot ça t’arrive souvent de t’endormir en pleine forêt comme ça ? Si ton père l’apprend … »
« Hm ta gueule j’ai pas envie d’entendre parler de lui maintenant. »

Elle me regarde l’air dépité, puis me lâche comme un gros sac de patates sans valeur.

« Fouha … Tu pourrais faire plus d’effort tout de même. Tu te rends compte qu’il m’estime bien plus que toi alors qu’il n’est même pas mon paternel. Tu ne voudrais pas… »
« MAIS FERME LA ! CA NE TE REGARDE PAS CA ! »

Je la fixe alors qu’elle recule légèrement en tirant une moue contrarié. Je me relève, et époussète doucement mes frusques.

« Bon on rentre ? »

Elle acquiesce, une expression bizarre déforme ses traits. Je passe devant elle, elle baisse la tête avant de planter ses griffes dans mon bras.

« Fais un effort, s’il te plait. Sinon … Je t’en prie, plie toi à ce qu’il te demande, ce n’est pas grand-chose… Deviens celui qu’il attend, c’est pas dur merde ! T’es un Zerastralis, c’est en toi, tu t’en débarrasseras jamais ! »
« Aie, tu me fais mal ! Putain lâche moi ! »

Je la repousse si durement qu’elle tombe par terre. Mais qu’est-ce qu’elle a à la fin, elle est pénible, ca va faire une semaine qu’elle me rabache ce discours à la noix, j’en ai rien à faire et elle le sait bien !

« Mais qu’est-ce qui te prend de me bassiner avec ça ? T’étais pas comme ça avant ?! Alors arrête d’essayer de me faire changer, qu’il aille se faire foutre, lui et son éducation ! Lui et son clan ! Si c’est pour être un pion à son service je ne veux pas lui obéir ! Je préfère encore qu’il m’écrase comme un insecte. »

Je m’arrête brusquement alors qu’elle éclate en sanglot, hoquetant. Je me rapproche d’elle lentement. Je n’aime pas l’entendre pleurer surtout quand je ne sais pas ce qui pousse ses larmes à couler.

« Raya… »

Je tends ma main vers elle. Ma demi sœur se recule, elle frotte vigoureusement ses paupières, chassant toute trace de larmes avant de se relever. De ses yeux gonflés, elle me balance un regard sévère.

« Je t’aurai prévenu … Fais attention c’est dangereux de s’endormir n’importe où, je te l’ai trop répété. »

Je ne comprends pas ce changement brusque, est-ce une menace ? Je ne vois plus que son dos qui navigue à travers les troncs de la foret de pins. Je sais que j’aurai beau la rattraper et lui demander des explications, je n’obtiendrai rien. J’aurai peut être du … peut être oui… je le compris amèrement quelques jours plus tard, une froide journée d’hiver ou je décidais à nouveau de faire du sol de la foret, ma couche.

{ After … Say please }

J’ai mal partout. Le sol est glacé, ça sent la mort ici. Je peine à ouvrir les yeux, tout cela pour entrapercevoir les ombres des barreaux derrière lesquels je me trouve. Une fois de plus je ne peux rien faire, à part passer mon temps étalé sur l’inox de ma cage, à voir les gens s’arrêter pour s’extasier sur une horreur de la Nature. Je perds la notion du temps, depuis combien de temps je me suis fait chopper par ce cirque ambulant, je ne le sais pas. Je suis incapable de me défendre, il m’est impossible de me servir du pouvoir de ma famille. Ces bâtards ont implanté sous mes tatouages héréditaires, quatre spirales le long de mon dos, de petites plaques de fer qui concentrent la moindre étincelle et m’empêche d’utiliser l’électricité présente dans l’air ou dans mon corps. Ils sont trop bien renseignés sur ces points sensibles pour avoir agis seuls… Je ne peux même pas les atteindre ne serait-ce que pour me les arracher … quel bordel !

Comme à son habitude le dompteur de fauve se plante devant ma prison, avec son putain de sourire niais aux lèvres que je lui ferai avaler un de ses jours. Il est proche … tout près peut être que. Sans réfléchir plus longtemps je me jette sur les barreaux élançant mes bras écorchés vers lui pour tenter d’empoigner ce fils de putain et lui tordre le cou. Vraiment pas de bol, il est trop loin, il y a aussi un paramètre que j’ai oublié et qu’un sympathique « clic » me rappela. Je porte violemment mes mains au collier enserrant mon cou avant de m’effondrer à terre, gesticulant comme la plus misérable des larves. Je suffoque, je griffe ma gorge sans arriver à desserrer cet étau, mon cœur s’abandonne à une danse tribale, lorsque soudain le collier se détend, me laissant tousser jusqu’à en cracher mes poumons. Alors que l’air circule à nouveau dans mes bronches je le regarde jongler avec la télécommande de ce maudit truc.

« Pfff sale bête … Tu mérites une véritable correction. »

Je me tapis au fond de ma cage en le voyant tourner les talons, il reviendra… encore.

~

Encore une journée dans cet enfer qui empeste les défécations et l’animal mort. Chaque jour je me résigne un peu plus à mon sort, celui de rester dans cette cage sans aucune issus. Je tourne le dos aux spectateurs pour avoir la paix, sous les rappels à l’ordre incessants de ce dompteur scandinave aussi con que pervers. Qu’il aille se faire mettre …

Un truc changea par rapport à d’habitude. La maigre foule, les cris d’enfants … Deux mecs qui se disputent sur l’arrangement d’un câble électrique.

« Par là c’est le plus court ! »
« Mais non je te dis qu’en passant près de la cage aux lions c’es… »
« Bon tu fais ce que je te dis ! La c’est le plus court pour aller alimenter les projecteurs du chapiteau. »
« Bon et si on a plus de câble faudra recommence ! »
« Qu’on essaye déjà… »

J’y prête une oreille distraite, c’est vrai que l’on vient d’arriver sur un nouveau terrain. Je me retourne, fixant les deux énergumènes. Ils passent juste devant moi … une idée folle me traverse mais retombe aussitôt. Je ne serai jamais en mesure d’atteindre cela. Je soupire et me recouche. Si seulement je pouvais leur faire payer à tous.

Le soir tombe et sous le chapiteau retentissent les sollicitations du Monsieur Loyal, comme tous les jours pratiquement. Seuls les pleurs d’une fillette tranchent avec la monotonie habituelle.

« Mamaaaaaaaan ! »

Pffff qu’elle se paume mais le plus important, qu’elle la ferme surto… Oh merde … Qu’elle vienne plutôt par ici. Ses cris se rapprochent, oh oui petite viens donc par là.

« Psst … Petite. Hey j’ai vu ta maman ! »
« Mam … hmmm … »

Elle se rapproche de ma cage, les yeux baignés de larmes, tenant fortement une peluche contre elle.

« Dis, tu m’aides et je te ramène à ta maman. »

Elle renifle puis hoche la tête, elle doit avoir quoi, six/sept ans à tout casser. J’esquisse rapidement un sourire je vais enfin pouvoir m’évader de cet enfer. Je lui montre un des câbles qui passe juste devant, de ses petites menottes elle attrape le fil et le tend vers moi, j’ai juste à allonger le bras pour effleurer le caoutchouc.

« Ma … Maman, t’es… t’es zentil … t’vas m’aider… »

Je saisi le tube et recule un peu. Respirant un bon coup, je le tords arrachant les fils, faisant crépiter des étincelles. C’est peut-être une très mauvaise idée … ou pas. Je pose mes doigts sur les cordons et me retrouve soudainement projeter sur le fond de la cage. Je hurle, Ma peau se déchire, les plaques de métal giclent contre les parois de la cellule, j’emmagasine enfin l’électricité que je suis en train de me manger et me relève, revigoré. Je lâche les fils et regarde la fillette en pleurs qui n’a pas bouger d’un pouce. Je fais fondre les barreaux de ma cage et sors, lui tendant la main.

« Tu viens on va retrouver ta maman. »

Sa petite main froide glisse dans la mienne et la serre. Nous nous dirigeons tous les deux vers le chapiteau. Ma vengeance, au creux de la main.

{ Now … Say this Island is my escape }

Je regarde distraitement la cime des arbres immenses, adossé au pied d’un mur de terre quand le bruit mat d’un corps sur le sol me tire de mes pensées. Un mec bizarre et baraqué a largué le corps frêle d’un humain comme un vulgaire morceau de bouffe.

« Il a besoin de comprendre où est sa place… Mais Brett le veux encore entier hein... »

Je lui décoche un sourire alors que le vermisseau se tortille avec impuissance.

« Okay, je ne l’abimerai pas trop. »

J’empoigne le bras de ma cargaison et disparait avec lui dans la pénombre d’un abri de fortune.



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.:: Vous ::.
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    [x] Age : Ca vous regarde ça? <_< Assez pour être ici en tout cas.
    [x] Expérience dans le RP : *no comment*
    [x] Première impression du Forum : Euh ... *In love*
    [x] Des Améliorations à apporter ? -
    [x] Code du Forum : [Code bon par Noham]



Dernière édition par Leeca Zerastralis le Lun 21 Mar - 2:48, édité 1 fois
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Noham Raeddys

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MessageSujet: Re: Kesyttäjä höperö    Kesyttäjä höperö  EmptyDim 20 Mar - 22:01

Bonsoir bonsoir et Bienvenue! /o/

Eh bien je ne trouve rien à y redire, c'est nickel toussah x) Tu es validé

Tu peux désormais aller faire mumuse <3 J'espère que tu te plaira ici x3

Si tu as envie d'un rang particulier, tu peux te rendre dans les doléances.

Wala wala !
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Kesyttäjä höperö

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