Kyoiku-Gakuen, un établissement collège-lycée ouvre ses portes en 1990. Dès les premières années il se démarque des autres établissements grâce à l'enseignement et aux pratiques sportives.

En cinq ans l'établissement devient le premier lycée à assurer une suite d'étude pour les élèves dans la prestigieuse université de « Todai ». Les clubs eux, connurent un succès tardif mais permettent actuellement aux étudiants en bourse sportive de passer professionnel dans les clubs prestigieux du pays.

Les règles strictes et sévères font de l'établissement un lieu d'éducation rêvé pour les jeunes Japonais. La réputation du Kyogaku fut telle que les élèves de tout le pays voulurent si inscrire. Le règlement changea donc en 2001, obligeant les étudiants à devenir interne.

« Le lieu d'habitation proche de l'établissement permet aux élèves de se concentrer plus amplement sur leurs études. » nous fait part Furawāgāru-sensei, la directrice, aux journalistes éducatifs.

Lors d'une interview Furawāgāru-sensei nous partagea les débuts du lycée.

« Je n'ai jamais été à l'école, en revanche j'ai eu la chance incroyable d'être adoptée par une famille riche, qui m'offrit une éducation stricte. Sans eux, ma vie n'aurait pas été aussi longue que maintenant. J'ai décidé d'ouvrir cette école pour les jeunes de ce monde. Ainsi que pour ceux qui sont orphelins ou pauvres, comme je l'ai été dans le passé. Ils n'ont rien pour vivre.
Bien sûr, le prestige de l'école nous force maintenant à établir un test strict. Chaque jeune doit pour entrer dans l'établissement, réussir le test avec un score minimum de 60% pour le chugako [collège] et 85% pour le kookoo [lycée]»

L'établissement accueille plus de mille élèves dans chaque section. Les clubs, connus pour leur niveau, attirent plusieurs jeunes venant des collèges environnants. Leur but en intégrant l'école est d'avoir une chance d'entrer en ligue professionnelle dans le futur.

Nombreux sont les élèves de ces quinze dernières années, qui sont devenus des cadres de grandes entreprises ou professionnels dans le monde du sport.

La réputation de l'école n'est plus à faire, et nombreux sont les élèves à vouloir y entrer. Par ailleurs, quelques élèves étrangers y entrent afin de se faire un nom et de bâtir leur futur dans le pays.